« Nous sommes les sorciers, les druides, ceux qui savent… Depuis la nuit des temps, nous appartenons à la plus ancienne organisation du monde. Quand l’homme apparut, nous étions là. Nous avons chanté les premières berceuses. Nous avons soigné les premières blessures. Nous avons calmé les premières terreurs. Nous étions ceux qui veillaient dans la pénombre. Les grottes ornées des Pyrénées se souviennent de nous, comme les premières statuettes de glaise que nous avons modelées à l’origine du monde. Nous étions présents dans les cercles de pierres, près des monolithes, des dolmens et du chêne des druides. Lorsque les Romains puis les chrétiens nous ont chassé à mort, nous nous sommes abrités dans les bois ancestraux, dans nos chaudes cavernes qui sont le ventre de notre terre maternelle. Merlin était des nôtres, comme l’étaient Gauvin et Arthur, Rabelais et Catulle, Bertrand de Born, Gilles de Retz et Jehanne d’Arc, Jacques de Molay, John Dee, Cagliostro, Nostradamus, Francis Hepburn et Gellis Duncan, Swinburne et Eliphas Lévi, Leconte de Lisle, Péladan et Maurice Magre, Fédérico Garcia Lorca, Otto Rahn, Savitri Devi, Delteil, Saint-Loup, Giono et Vincenot, et de nombreux autres bardes, mages, poètes, martyrs connus et inconnus qui ont porté notre bannière contre l’ennemi multiforme et omniprésent, l’Église et l’État. Et quand cette vermine de l’enfer que l’on nomme le christianisme soumettait tout l’Occident à l’esclavage du péché, de la mort et de la terreur, nous, et nous seuls, apportions de l’espoir au cœur de l’homme, malgré les geôles et les bûchers… »
Pierre Gillieth. Ombre. Éditions Auda Isarn
« Nous sommes les sorciers, les druides, ceux qui savent… Depuis la nuit des temps, nous appartenons à la plus ancienne organisation du monde. Quand l’homme apparut, nous étions là. Nous avons chanté les premières berceuses. Nous avons soigné les premières blessures. Nous avons calmé les premières terreurs. Nous étions ceux qui veillaient dans la pénombre. Les grottes ornées des Pyrénées se souviennent de nous, comme les premières statuettes de glaise que nous avons modelées à l’origine du monde. Nous étions présents dans les cercles de pierres, près des monolithes, des dolmens et du chêne des druides. Lorsque les Romains puis les chrétiens nous ont chassé à mort, nous nous sommes abrités dans les bois ancestraux, dans nos chaudes cavernes qui sont le ventre de notre terre maternelle. Merlin était des nôtres, comme l’étaient Gauvin et Arthur, Rabelais et Catulle, Bertrand de Born, Gilles de Retz et Jehanne d’Arc, Jacques de Molay, John Dee, Cagliostro, Nostradamus, Francis Hepburn et Gellis Duncan, Swinburne et Eliphas Lévi, Leconte de Lisle, Péladan et Maurice Magre, Fédérico Garcia Lorca, Otto Rahn, Savitri Devi, Delteil, Saint-Loup, Giono et Vincenot, et de nombreux autres bardes, mages, poètes, martyrs connus et inconnus qui ont porté notre bannière contre l’ennemi multiforme et omniprésent, l’Église et l’État. Et quand cette vermine de l’enfer que l’on nomme le christianisme soumettait tout l’Occident à l’esclavage du péché, de la mort et de la terreur, nous, et nous seuls, apportions de l’espoir au cœur de l’homme, malgré les geôles et les bûchers… »
Pierre Gillieth. Ombre. Éditions Auda Isarn
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Publié le 15 août 2013 Le lien ici : 15 août : je te chante vénérable Déesse
IL EST TEMPS DE "SOULEVER LE VOILE D'ISIS"
Extrait :
La Vierge Marie, que les chrétiens catholiques et orthodoxes célèbrent ce 15 août, ne doit pas nous faire oublier les madones sacrées d'Eleusis, de Rome ou de Scandinavie, car il s'agit bien d'Elle, la Grande Déesse-Mère, dans sa réalité plurielle et qui, fidèle à son initiation, se métamorphose sans cesse, renaissant à travers les cycles des saisons comme ceux des civilisations, à chaque fois, vierge et pure, et dispensant auprès de ses fidèles un amour maternel et protecteur éternel.
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Publié le 14 août 2013 - le lien ici :Il n'y a pas de paganisme, il n'y a que des païens
Conférence sur le Paganisme, par Maurice Rollet,
à Loriol-sur-Drôme, en 1999
PLAN DE LA CONFÉRENCE
PRÉAMBULE : DÉFINITION DU PAGANISME
1 / LE PAGANISME SUR LE PLAN INDIVIDUEL 1.1 / La méditation
1.2 / Le retour aux sources
1.3 / La prière
2 / LE PAGANISME SUR LE PLAN RITUEL 2.1 / Les cérémonies familiales
2.2 / Les cérémonies communautaires
2.3 / Le rituel
3 / LE PAGANISME SUR LE PLAN TEMPOREL
CONCLUSION
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Publié le 22 août 2013,
"Nous étions là..."
Via le blog "Le Chemin sous les buis" 20 août 2013, Le lien ici : "Nous étions là..."
"Nous étions là..."
Via le blog "Le Chemin sous les buis" 20 août 2013, Le lien ici : "Nous étions là..."
« Nous sommes les sorciers, les druides, ceux qui savent… Depuis la nuit des temps, nous appartenons à la plus ancienne organisation du monde. Quand l’homme apparut, nous étions là. Nous avons chanté les premières berceuses. Nous avons soigné les premières blessures. Nous avons calmé les premières terreurs. Nous étions ceux qui veillaient dans la pénombre. Les grottes ornées des Pyrénées se souviennent de nous, comme les premières statuettes de glaise que nous avons modelées à l’origine du monde. Nous étions présents dans les cercles de pierres, près des monolithes, des dolmens et du chêne des druides. Lorsque les Romains puis les chrétiens nous ont chassé à mort, nous nous sommes abrités dans les bois ancestraux, dans nos chaudes cavernes qui sont le ventre de notre terre maternelle. Merlin était des nôtres, comme l’étaient Gauvin et Arthur, Rabelais et Catulle, Bertrand de Born, Gilles de Retz et Jehanne d’Arc, Jacques de Molay, John Dee, Cagliostro, Nostradamus, Francis Hepburn et Gellis Duncan, Swinburne et Eliphas Lévi, Leconte de Lisle, Péladan et Maurice Magre, Fédérico Garcia Lorca, Otto Rahn, Savitri Devi, Delteil, Saint-Loup, Giono et Vincenot, et de nombreux autres bardes, mages, poètes, martyrs connus et inconnus qui ont porté notre bannière contre l’ennemi multiforme et omniprésent, l’Église et l’État. Et quand cette vermine de l’enfer que l’on nomme le christianisme soumettait tout l’Occident à l’esclavage du péché, de la mort et de la terreur, nous, et nous seuls, apportions de l’espoir au cœur de l’homme, malgré les geôles et les bûchers… »
Pierre Gillieth. Ombre. Éditions Auda Isarn
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